OUVERTURE DE L’ANNEE DE L’INTERNOVICIAT MASCULIN 2020-2021

« Pour vous, qui suis-je ? »

 

Fr. Patrick de l'Incarnation

Chaque année dans l’archidiocèse de Lubumbashi s’ouvre l’internoviciat masculin, regroupant les frères novices de toutes les congrégations religieuses se trouvant à Lubumbashi. Pour l’exercice 2020-2021, l’ouverture a eu lieu à Kipushi dans le diocèse de Sakania-Kipushi, le 25 vendredi septembre 2020.

Étaient présents pour l’événement : les frères novices carmes Déchaux, Salésiens de Don Bosco, Aumôniers du Travail. En raison d’une juste cause, les franciscains, les salvatoriens et les Fils de l’Incarnation n’ont pas pu faire le déplacement vers Kipushi

Les frères et leurs formateurs ont été accueillis par la communauté des pères salvatoriens de Kipushi.  La mise en place terminée, dix minutes ont été accordées à chaque famille religieuse pour présenter son charisme. 

Après cette étape, tous les novices et leurs formateurs se sont dirigés vers la paroisse Notre Dame du Travail, où une messe d’ouverture a été dite par le Père Floribert Mulikita, président de l’Assemblée des supérieurs majeurs du Katanga, accompagné de quatre concélébrants.

Commentant l’Évangile du jour, le célébrant a exhorté les novices a bien connaitre celui qu’ils ont choisi de suivre : « ce Jésus que vous avez choisi de suivre, qui est-il pour vous ? Chacun pourra répondre à sa manière », a-t-il conclu.  Avant la bénédiction finale, le père Pascal, président de l’inter noviciat masculin, a pris la parole pour remercier l’assemblée. Il  en a profité de cette tribune pour déclarer ouverte l’année de l’inter noviciat 2020-2021.

Après la célébration Eucharistique, les frères novices et leurs formateurs ont regagné la communauté des Pères salvatoriens et ont partagé un repas commun au rythme de la musique et quelques sketches exécutés par les frères pour créer l’ambiance festive.

Le repas et la vaisselle terminés, a suivi la prière de fermeture dite par le père Innocent de l’Ordre des Carmes Déchaux. C’est sur cette note joyeuse que nous avions rebroussé chemin avant de  retrouver nos communautés respectives.